Un employé de l'école de Prato a été licencié à la fin de sa période d'essai. La raison ? Il a passé trop de temps à faire des mots croisés et trop peu pour accomplir les tâches requises par son poste.

L'affaire s'est également retrouvée devant les tribunaux, où le travailleur a tenté de riposter. Mais le juge lui a donné tort, confirmant la légitimité de la décision prise par l'école.

Mots croisés et quelques résultats

L'histoire a été racontée par 'Corriere Fiorentino'qui a rapporté les détails de la sentence, prononcée ces derniers jours. Le collaborateur scolaire avait été embauché en CDI en septembre 2023, mais déjà à la fin de la période probatoire, l'école a décidé de lui notifier le décret de retrait. La cause officielle ? « Inadéquation des compétences professionnelles par rapport au rendement au travail ».

D'après ce qui est ressorti au cours de la procédure, l'homme a consacré la majeure partie de son temps de travail à la Puzzle Weeken négligeant les activités quotidiennes requises par le rôle. De plus, cela aurait créé un climat difficile entre collègues, ce qui aurait pour conséquence peu coopératif et souvent agacé par le contexte scolaire.

Témoignages concordants : « Il n'a jamais fait le ménage »

Durant le procès, le juge a entendu diverses choses témoignages du reste du personnel de l'écoletous s’accordent pour décrire une situation de travail problématique. Des collègues ont rapporté, en fait, que l'homme avait il refusait souvent de participer au ménage de l'après-midi et lorsqu'il était invité à accomplir des tâches qui lui étaient assignées, il trouvait des excuses telles que des maux de dos ou un rhume pour s'éclipser.

« Tout le monde confirme l'avoir vu à plusieurs reprises, pendant les heures de travail, occupé à faire des mots croisés, refusant de travailler », peut-on lire dans la phrase. Même en vue de la rentrée scolaire, où une préparation extraordinaire des milieux était nécessaire, l'homme aurait manifesté « ouvertement l'ennui à accomplir ce qui lui est assigné et j'ai arrêté de faire le travail.

Gêne pour la cloche et pour les étudiants

Outre une faible participation aux tâches, les collègues ont également signalé certains comportements jugés « bizarres » ou en tout cas peu compatibles avec le contexte scolaire. Parmi ceux-ci, mauvaise tolérance aux bruits environnementaux typiques: « Nous avons constaté une intolérance aux bruits forts dans l'institut, notamment ceux liés aux la sonnerie de la cloche ou trop bruit fait par les garçons en quittant le bâtiment, avec une irritation excessive de sa part. »

Une image qui a amené le juge du travail à rejeter le recours présenté par le collaborateur et de confirmer le licenciement décidé par la direction de l'école.

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