L’infirmière valencienneLucie Santonja Ayuso a reçu le prix du meilleur projet de recherche interne en santé mentale intitulé : Santé mentale et premiers épisodes psychotiques, un programme psychoéducatif pour les enseignants et les conseillers », par l’Association espagnole des soins infirmiers en santé mentale (AEESME) au cours du congrès qui a commémoré le 40ème anniversaire de cette association avec pour devise Science, Humanité et Engagement.

Le projet Santonja prône la combinaison de promotion de la santé mentale et prévention des troublesun diagnostic précoce et un traitement précoce, en promouvant des actions contre la stigmatisation et en mettant l’accent sur les soins aux groupes les plus vulnérables, tels que les enfants et les jeunes, comme l’a rapporté le Collège officiel d’infirmières de Valence.

À cet égard, l’auteur de l’article explique que certains adolescents qui souffrent d’un certain type de maladie mentale ont été stigmatisés par leurs pairs, leurs proches et leurs enseignants, « permettant des réactions émotionnelles négatives, des attitudes auto-discriminatoires et l’isolement ».

Pour cette raison, il explique que compte tenu des répercussions négatives sur leur développement, leur rétablissement et leur intégration dans la société, il a été jugé approprié de procéder à une intervention infirmière d’Éducation et de Promotion de la santé mentale sur les enseignants et les conseillers d’un institut. Ainsi, il propose « d’évaluer l’impact d’une intervention, basée sur l’éducation et la promotion de la santé mentale, sur les enseignants et les conseillers des établissements d’enseignement secondaire ».

Para Santonja es «fundamental, además, conocer cuáles son las actitudes más estigmatizantes que prevalecen sobre la muestra antes y después de la intervención», evaluar los conocimientos del profesorado y orientadores sobre la psicosis antes de la intervención, y analizar las correlaciones entre las variables d’intérêt.

Enfin, il juge « crucial » de vérifier l’acceptation du programme par les participants. L’infirmière de recherche défend l’hypothèse selon laquelle elle considère que le niveau de stigmatisation chez les enseignants et les conseillers de l’Institut d’enseignement obligatoire diminuera après avoir suivi le « Programme PEP en classe ».

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