Elles sont nées comme mesure temporaire – et exceptionnelle – pour permettre aux hôteliers de survivre à une époque où nous portions des masques et où un mètre et demi de sécurité nous séparait. La consommation dans les salons intérieurs était interdite et les bars étaient une sorte de territoire radioactif. Mais les terrasses Covid se perpétuent depuis près de quatre ans, depuis un mai 2020 lointain et pandémique, dans les zones de stationnement des quartiers de Madrid. Pour certains, heureusement ; pour d’autres, malheureusement. Il ne pleut jamais au goût de tout le monde. En attendant que la nouvelle année soit arrivée, date limite pour le retrait des tables et chaises « garées » sur les places de parking. Depuis le 1er janvier, en… Afficher la suite

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