En ligne sur la chaîne YouTube du Ministère de l’Education et du Mérite le quatrième épisode de la chronique vidéo »Le ministre répond”, avec le ministre Giuseppe Valditara, interviewé par la journaliste Maria Latella à propos de paquet d’interventions présenté au Conseil des ministres concernant i PCTO (Parcours pour les compétences non techniques et l’orientation).

Cadre de « Les #réponsesduministre – épisode 4 »

Dans la salle de législation scolaire, le ministre nous éclaire sur la manière de garantir la sécurité et l’efficacité des Sentiersainsi que sur le couverture d’assurancesur la figure de enseignant coordinateur, et plus. Voici les paroles de Valditara.

Que sont les PCTO ?

Valditara commence par dire qu’elle préfère parler de alternance école-travail pourquoi, explique-t-il, « c’est beaucoup plus clair ». Continuez ensuite : « L’alternance école-travail est un outil fondamental pour la formation de nos enfants: ce n’est pas un hasard s’il est prévu dans tous les principaux pays européens. Et c’est ce moment de formation professionnelle qui est particulièrement important pour acquérir ce qu’on appelle compétences techniquesc’est-à-dire ces compétences de base fondamentales qui placent les jeunes dans le monde du travail et les forment à une carrière ultérieure ». Mais pour Valditara ne sont certainement pas exclus compétences généralescomme la capacité à organiser son temps et à travailler en équipe, également acquise par les étudiants au cours de l’expérience.

Les PCTO, poursuit le ministre, s’avèrent si importants tant pour le parcours de formation technico-professionnelle soit pour ça lycéenavec cependant « deux attentions différentes ».

Valditara assure : « Nous voulions assurer la sécurité et l’efficacité dans ces chemins ». Comment? « Nous avons la garantie de la sécurité renforcement du registre des alternancesc’est-à-dire le registre qui est tenu dans les chambres de commerce, avecinclusion d’exigences supplémentaires que nous demandons aux entreprises, afin d’éviter le recours à des entreprises non qualifiées, comme cela s’est produit par le passé. Parmi ces prérequis : compétences structurelles, compétences technologiques organisationnelles, expérience acquise dans ces parcours, participation éventuelle à des formes de connexion organisationnelle avec les associations professionnelles ». A propos de l’efficacité de l’alternance école-travail : « Ensuite, il faut que ces Parcours soient cohérents avec le plan triennal de l’offre de formation, avec le profil culturel et pédagogique des cursus uniques, précisément pour veiller à ce que ce parcours soit cohérent avec les besoins du jeune. A cet effet vient également introduit la figure d’un enseignant coordinateur.

Enseignant coordinateur

Que fera l’enseignant coordinateur ? « Il devra coordonner tous ces profils pour que l’expérience profite à l’étudiant et que le chemin le plus approprié lui soit choisi »répond Valditara. « Et de ce point de vue, je veux aussi souligner comment les entreprises devront également démontrer concrètement l’adoption de toute une série de mesures de sécurité avant de pouvoir accéder aux conventions. De plus, avec un projet de loi parallèle, nous prévoyons une formation spécifique des enfants, ainsi qu’une vérification des bonnes pratiques afin de les mettre à disposition des écoles ».

La protection des enfants d’un point de vue assurantiel

Les enfants seront-ils protégés du point de vue de l’assurance ? Pour Valditara la réponse est oui : « Il vient une assurance est également prévue qui s’élève à 10 millions d’euros pour 2023ce qui vous permet entre autre de pouvoir payer les parents de Lorenzo, qui a été victime d’un dramatique accident dans le passé ». La gestion est donc celle d’adopter toutes les mesures nécessaires pour rendre ces itinéraires absolument sûrs, sans toutefois perdre en efficacité et en garantissant, en cas d’accident, « couverture adéquate.

D’où la nouvelle : « Le premier mai, nous avons étendu la couverture d’assurance à tout le personnel de l’école et à tous les enfants. Couverture d’assurance pour tout type d’accident pour le personnel de l’école, même pendant le voyage. De cette façon, une discrimination haineuse qui discriminait les travailleurs scolaires par rapport aux autres employés publics est guérie et les familles sont empêchées de payer en privé « .

L’enseignant sera-t-il assuré en cas d’accident du travail ?

Encore une fois, la réponse du ministre est affirmative. Si l’enseignant se rend à l’école ou se trouve dans le bâtiment de l’école, en cas d’accident « il sera payé par l’Etat avec une assurance spéciale ». Valditara ajoute : « La même chose pour l’enfant qui se blesse au gymnase, en classe ou lors d’une sortie scolaire : avant c’était les écoles qui y pensaient en demandant spontanément des contributions aux familles, maintenant on s’en occupe, l’Etat s’en occupe.

Quand l’assurance entrera-t-elle en vigueur?

« Déjà pour 2023 »dit Valditara, « tellement que 30 millions d’euros sont spécifiquement prévus pour 2023déjà de cette année scolaire « .

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