L’un des dirigeants présumés de la plateforme enregistrait sur son ordinateur des conversations avec des « agents » à qui il aurait confié des « missions ».
Ils voulaient des « informations privilégiées » et, pour cela, Tsunami Democràtic aurait pu disposer d’un réseau de collaborateurs infiltrés dans la CDR et d’autres groupes de mobilisation sociale indépendantistes. C’est la conclusion à laquelle est parvenue la Garde civile après avoir analysé les captures de conversations qui…
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