La première partie de l’année scolaire, souvent caractérisée par manifestations et grèves par les étudiants, touche à sa fin et le bilan met en lumière les le mécontentement des étudiants.

À propos de 30% des 5 000 lycéens interrogés par Skuola.net disent qu’il y a eu des actions depuis septembresouvent contre le état des bâtiments scolaires ou des questions internes à l’institution.

Professions et autogestions les « formules » les plus fréquentes.

L’enquête Skuola.net : un automne tumultueux pour l’école

Pour le monde de l’écolecelui qui est sur le point de se terminer par le vacances de Noëla été un automne décidément mouvementé. Surtout devant manifestations étudiantes.

Pour le signaler unenquête menées ces dernières semaines par le portail Ecole.netinterviewer 5 000 lycéens. Hé bien 3 étudiants sur 10en fait, ils disent que de septembre à aujourd’hui, elle a été dans son institution une certaine forme d’action organisée (emploi, autogestion, etc.). Dont beaucoup – environ un tiers – organisés dans la dernière partie de l’année, au mois de Décembre. En outre, même lorsqu’il n’y a pas eu de confrontation ouverte, dans 1 cas sur 2 a été cloué au moins un dissidence « douce » (lettres, assemblées, etc.).

Les protestations les plus répandues : les occupations

Pour en revenir aux manifestations proprement dites, la scène était plus ou moins également répartie entre les différents modes. Le plus répanduun peu, c’était les occupations (37%). Suivie par cogestions (33%) et autogestions (30%). Avec un une participation vraiment cohérente: Participer activement aux manifestations étaient autour 7 étudiants sur 10. Même si alors, en creusant profondément, seulement une minorité (39%) il l’a fait pour un désir précis de faire entendre sa voix. Le plus grand public l’a fait pour partager l’expérience avec ses pairs (48%) ou de participer à quelque chose de nouveau, de différent (13%).

Et qui est-ce abstenu? La plupart (23%) pense que des choses comme ça sont une perte de tempsbeaucoup d’autres (20%) en ont pourtant profité pour récupérer avec l’étude; à 1 sur 5 a été empêché par les parents, 1 sur 10 il avait peur de la réaction des professeurs. pouquoi la « réponse » de l’école, très souvent, n’a pas été exactement douce:dans 1 cas sur 4 des conséquences d’un point de vue didactique ou disciplinaire étaient même redoutées.

Mais, au final, pourquoi sommes-nous passés à des voies fortes ? Surtout pour le problèmes structurels de longue date des différents instituts: le 45% des garçons disent que le centre de la manifestation était leurs enfants bâtiments délabrés où ils sont obligés d’enseigner. Et, plus généralement, dans presque 8 cas sur 10 la voix s’est élevée pour signaler en premier lieu problèmes internes à l’école; seulement le 22% au lieu de cela, il signale que la cible était le politiques gouvernementales, sur l’école mais aussi sur d’autres sujets d’intérêt pour les jeunes. Des protestations qui, de l’avis de 1 étudiant sur 3ils peuvent dire aller bienpuisque quelque chose a changé par la suite ou du moins on a promis que cela se produirait.

« Après des années difficiles liées à la pandémie, les élèves ont retrouvé une vie scolaire « normale », qui comprend également des activités organisées pour faire entendre leur voix. Malgré la crise internationale et le changement de gouvernement, ce qui semble le plus presser les jeunes, ce sont les problèmes qui les préoccupent au quotidien : les conditions dans lesquelles ils enseignent à l’école. Les occupations, les autogestions et les grèves ne cesseront probablement pas d’exister même si leurs souhaits sont satisfaits en leur fournissant des bâtiments scolaires sûrs et confortables, ainsi qu’un environnement scolaire positif et inclusif. Mais cela faciliterait certainement le dialogue entre ceux qui vivent l’école au quotidien et les institutions »comme ça Daniel GrassucciDirecteur de Ecole.net.

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