Alors que les étudiants italiens s’affairent à relever le défi des examens finaux, le ministre de l’Éducation et du Mérite s’est envolé pour l’Inde pour G20 affronter les autres défis.

En effet, dans ces forums, il est possible de discuter et de trouver des solutions – grâce au partage d’expériences acquises par les 20 pays concernés – aux principaux problèmes qui affectent les systèmes scolaires.


Décrochage scolaire, orientation et matières STEM : il n’y a pas que l’Italie qui souffre

On est souvent amené à penser que certains problèmes n’existent que dans notre pays. Ce n’est en fait pas comme ça. Par exemple, il ressort de la comparaison entre Giuseppe Valditara et son homologue canadien « l’importance de lutter contre le décrochage scolaire et l’urgence de personnaliser l’éducation. L’objectif est de renforcer la formation technico-professionnelle, élément crucial pour l’insertion des jeunes dans le monde du travail ». En effet, de nombreux jeunes arrêtent d’aller à l’école soit parce qu’ils choisissent des filières inadaptées, soit parce que certaines de ces filières sont peu attractives ou efficaces.

Mais plus généralement aussi les ministres « ils confirment une ligne commune sur la nécessité de transformer et de combattre la pauvreté éducative, qui est un problème croissant partout dans le monde ».

Des solutions peuvent également découler de cette discussion des problèmes. D’après Valditara « avec la personnalisation de l’éducation, le renforcement des matières scientifiques et des dotations technologiques et le renforcement de l’intégration entre la formation et le travail, l’Italie est pleinement insérée dans ce processus de développement indispensable et urgent ».

Il suffit donc de voir les effets de ces politiques dès la rentrée prochaine, lorsque les professeurs tuteurs et les professeurs d’orientation apparaîtront dans les écoles italiennes.

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