L’exclusion, qui selon l’étudiant était injustifiée, du voyage, qui a eu lieu il y a 11 ans, aurait compromis sa santé mentale. C’est pourquoi l’étudiant a fait appel, demandant à son ancienne école une indemnité égale à 375 milliers d’euros.

Rapporter la nouvelle est ‘horizon scolaire’. L’accusation passe d’une accusation alléguée illégitimité de la disposition adoptée par le conseil de classe et le directeur de l’école. La défense prétend le contraire, arguant que l’exclusion du garçon était motivée, à l’époque des faits, par l’institution.

Exclusion du voyage : l’étudiant demande 375 mille euros de dédommagement

Selon sa thèse, il y a 11 ans, il aurait été empêché, complètement démotivéparticiper au voyage scolaire. Pour cela, un lycéen a fait appel à son ancienne école, demandant indemnisation des dommages pour un montant de 375 milliers d’euros. Selon le garçon, l’exclusion du voyage aurait compromis sa santé mentale.

L’action en justice de l’étudiant est donc fondée sur le illégalité alléguée des mesures administratives adoptées par le conseil de classe et par le chef d’établissement. Les rapports de la défense ‘horizon scolaire’fonde son contre-argument sur le fait que l’étudiant ne revendique pas un droit subjectif à participer au voyage et que son exclusion a plutôt été formalisée avec des motifs connexes.

Le voyage scolaire comme étape fondamentale de formation

Pour le moment, le verdict n’a pas encore été rendu. Pour procéder à la demande de compensation, l’étudiant doit contacter le le goudron. Le juge évaluera la situation et quantifiera, le cas échéant, l’étendue des dommages.

voyage scolaire c’est en fait une étape importante dans le parcours scolaire d’un élèvetant d’un point de vue éducatif que d’un point de vue plus nettement social. Mais dans des cas comme celui-ci, nous pouvons en fait parler de préjudice? Ce sera au juge de trancher.

De plus, il précise ‘horizon scolaire’l’acte déclencheur est à tous égards un acte définitifet donc non modifiable. En d’autres termes, il n’est pas possible de remonter dans le temps pour changer l’état des choses. Cela signifie que le juge, dans le cas où il jugerait valables les conditions d’indemnisation, devra également tenir compte de laimpossibilité d’annulation de l’acte. S’il y a eu des dommages, les dommages resteront.

A lire également