Une autre nouveauté dans le contexte scolaire qui vient deTyrol du Sud. L’annonce vient directement du président de la province autonome de Bolzano, Arno Kompatscher. La proposition prévoit des entretiens obligatoires entre l’école et les parents, dans le but de tracer un parcours d’amélioration personnalisé pour chaque élève.

Selon le communiqué officiel, la nouvelle mesure vise à renforcer la collaboration entre les parties concernées. En cas d’absence des parents aux entretiensl’école pourrait introduire des mesures obligatoires, telles que des heures supplémentaires d’apprentissage des langues.

Si les parents décident de soumettre recours contre les évaluations négativesils n’auront aucune raison de prétendre qu’ils n’ont pas été informés des difficultés d’apprentissage de leurs enfants.

Entretien avec les parents à la rentrée

La résolution, lit-on sur le portail de la province, s’applique aux cas d’élèves inscrits en première classe de l’école primaire ou en cas de changement d’école, au plus tard 60 jours après la rentrée scolaire. Les chefs d’établissement sont autorisés à inviter les parents ou tuteurs à des réunions individuelles et, si des déficiences sont identifiées, des mesures et des délais seront établis pour remédier à ces difficultés. À cette fin, si nécessaire, vous pouvez également vous tourner vers des services de conseil et d’assistance.

Ce n’est pas la seule nouveauté attendue

Avec la rentrée scolaire, les élèves du Tyrol du Sud ils se sont retrouvés face à une autre nouveauté : aucun vote ne pouvait être inférieur à 4. Cette décision a suscité diverses opinions au sein du monde politique local. Philipp Achammer, conseiller provincial pour les écoles de langue allemande, estime que les niveaux comme « trois » ou « deux » sont inutiles et dénués de valeur pédagogique. D’autre part, Giuliano Vettorato, délégué pour les écoles de langue italienne, a mis l’accent sur l’importance du mérite et du professionnalisme dans l’enseignement. A l’époque, les 2 et les 3 étaient déjà très rares, car une recommandation invitait les enseignants à éviter ces évaluations « de condamnation », difficiles à récupérer.

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