Ils vivent isolés, en marge de la société. Ce sont les Hikikomori, terme japonais utilisé pour désigner tous ces jeunes qui ont renoncé à la vie sociale. Un comportement de plus en plus croissant, surtout après la pandémie de Covid19, qui affecte avec force la sphère relationnelle des filles et des garçons.

Un trouble qui s’installe plus facilement dans certaines zones : dans la province de Trévise, par exemple, plus de cinq cas ont été constatés dans un seul institut technique. Heureusement, c’est une école qui accorde une grande attention aux conditions de ses élèves.

« Si l’école peut aider, nous sommes là » : le directeur s’exprime

Interviewé par « Journal Piave »En effet, le directeur de l’institut a souligné le rôle clé que joue l’école en ce moment. Dans ce cas précis, en effet, le directeur a également précisé que l’école faisait tout son possible pour « récupérer » ces enfants, mais ce n’est pas suffisant.: « Nous ne pouvons qu’être un lien entre la famille et les structures locales de prévention et de traitement pour tenter de résoudre ce problème » explique le directeur.

Alors pour soutenir les enfants isolés, l’école a gardé papa actif, afin que l’enseignement puisse les atteindre d’une manière ou d’une autre : « Si l’école peut être utile, nous y sommes. Certains professeurs me disent qu’ils lancent le lien pour se connecter au cours le matin et, même si personne n’est vu, ils captent un signal indiquant la présence de quelqu’un derrière. Cela fait chaud au cœur. ».

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