Plus d'argent pour les salaires des enseignantsà court et à long terme. Mais aussi des fonds plus importants pour le « fonctionnement » des institutsce qui pourrait entraîner une baisse des dépenses pour les familles.

Et unextension de l'audience de la charte de l'enseignantla prime dédiée à la mise à jour et à la formation des enseignants. Ce sont les « promesses » faites par le ministère de l'Éducation et du Mérite au chapitre de Loi de finances 2025 – qui entame actuellement son processus d'approbation au Parlement – dédié à école. Le MIM lui-même a voulu les souligner, répondant aux accusations de rationalisation du secteur, apparues immédiatement après la présentation du budget.

Enseignants, il y aura des coupes mais les salaires vont augmenter

Nous partons de la question la plus épineuse : le personnel scolaire. Beaucoup ont souligné comment, avec la loi de finances pour l'année prochaine, nous procéderons à un réduction substantielle des effectifs: 5 660 enseignants et 2 174 unités technico-administratives. Mais le Ministère, tout en confirmant que ce sera malheureusement le cas, souligne à quel point il est « De une mesure transitoire de réduction du chiffre d'affaires qui n'affecte pas l'effectif global, également en raison des embauches qui se feront sur le support». Se réservant le droit, ultérieurement, de préciser la durée des sacrifices.

Mais ceux qui resteront bénéficieront probablement d’une bouffée d’air frais. C'est du moins ce qu'ils assurent depuis Viale Trastevere. Déjà pour la convention collective 2022/2024, rappelle la note ministérielle, un accord a été obtenu augmentation des salaires égale à 6% au globalsupérieur aux prévisions (toujours à 5,78%). ressources pour de nouveaux ajustements à la hausse: 1 755 millions d'euros pour l'année 2025, auxquels s'ajoutent 3 550 millions d'euros pour 2026 et 5 550 millions d'euros par an à partir de 2027.

Avec ces fonds, selon les prévisions du MIM, il sera possible de réaliser, à pleine capacité, des améliorations salariales pour le personnel scolaire égales à 5,4%. Une part d’inflation supérieure à celle prévue, avec des avancées déjà en 2025. En outre, grâce à la « réduction » du coin fiscal jusqu'à 40 mille euros bruts, tous les bénéficiaires bénéficieront, au total, d'une augmentation de salaire Que ça pourrait atteindre 6/7% de plus.

Plus d'argent pour le fonctionnement des écoles

Mais même pour les étudiants et leurs familles, il semble que de bonnes nouvelles soient en route. Avec la Manœuvre, en effet, a augmenté de 93,4 millions d'euros (entièrement opérationnel) le Fonds pour l'amélioration des offres de formation. Mais, en théorie, ce sera surtout le nouveau Fonds pour le renforcement du système scolaire qui apportera les ressources à consacrer aux aspects centraux pour l'ensemble du secteur. Et il sera réparti comme suit :

  • 25 millions d'euros pour 2025 (et 75 millions une fois pleinement opérationnel) pour mettre en œuvre un plan stabilisation des enseignants de soutien, à partir de l’année scolaire 2025/26 ;

  • 100 millionstoujours pour l'année scolaire 2025/26, pour financer (avec les 40 millions d'euros déjà alloués dans la dernière loi de finances) le renforcement des figures de tuteur et d’enseignant d’orientation;

  • 111 millions d'eurosà ajouter à fonds de fonctionnement des établissements d'enseignement; avec cet argent, en particulier, les instituts pourraient relâcher la pression stricte exercée sur les parents pour recevoir la contribution dite ordinaire, disposant de plus de ressources de l'État pour réaliser des projets éducatifs.

La charte de l'enseignant sera étendue aux intérimaires de l'école

Parmi les autres questions abordées par le chapitre scolaire, il y a apparemment des questions secondaires. Mais ils suscitent également des débats. C'est le cas par exemple de Carte du professeurla contribution – actuellement 500 euros – à consacrer à des activités et des produits de formation et de développement professionnel. Dans le texte en discussion au Parlement, on lit que la Charte sera « jusqu'à 500 euros ». Certains émettent l’hypothèse d’une possible baisse à venir, avec une réduction de la prime d’ici quelques années. Mais, là aussi, le ministère tente de rassurer avec une allocation de 60 millions d'euros sur le Fonds dédié, « afin de faire face aux coupes budgétaires opérées par le gouvernement Draghi, ndlr l'étendre aux intérimaires sur poste vacant et disponible ».

Enfin, parmi les questions purement administratives, nous parlons d'une pousser – de 2,4 millions d'euros – à l'activité des auditeurs dans les écoles. Et la participation aux mesures de examen des dépensesprévu pour tous les ministères, à travers un réduction de 40 millions pendant trois ansdont le MIM tient cependant à faire savoir qu'ils représentent « un pourcentage de seulement 0,08% du budget MIMet sur les chapitres déjà couverts par les investissements du PNRR ».

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