Un autre grève générale nationale a été proclamé pour le jour de 13 décembre 2024impliquant tous les personnel de l'école et touchant à la fois les secteurs public et privé.

La date est désormais fixée, et avec elle les tensions.

Le ministre des Transports et des Infrastructures Matteo Salvini ne s'est pas retenu, promettant de « limiter les désagréments au minimum ».

Mais les syndicats ne comptent pas reculer d'un pouce, défendant vigoureusement le droit de grève, garanti par l'article 40 de la Constitution.

Bref, il est facile de prédire que le vendredi 13 décembre ne sera pas n’importe quel jour. Voici tous les détails et raisons de cette nouvelle mobilisation.

Indice

  1. Pourquoi faisons-nous grève le 13 décembre ?
  2. USB School : une alternative pour l’avenir des écoles

Pourquoi faisons-nous grève le 13 décembre ?

Le 13 décembre ce ne sera pas un simple vendredi au milieu du mois : ce sera autre chose jour de lutte pour opposer la direction prise par le gouvernement à la manœuvre financière 2025.

Selon leUSBune organisation syndicale promouvant la grève, l'objectif est de mettre un terme à une politique qui pousse vers désindustrialisation et la « touristification de la péninsule », affaiblissant le système de production et condamnant le travail à des conditions de plus en plus précaires.

Dans un communiqué, l'USB souligne que les choix actuels du gouvernement ont de graves conséquences à la fois sur conditions de travail tous deux sur le qualité de vie.

Il ne s'agit pas seulement de questions économiques, mais aussi d'une bataille pour défendre le libertés démocratiques et pour empêcher le pays de sombrer dans un seul « spirale de guerre ».

Les grévistes veulent attirer l'attention sur ce qu'ils considèrent comme une crise systémique qui menace non seulement les droits des travailleurs, mais aussi le bien-être collectif.

USB School : une alternative pour l’avenir des écoles

Mais que demande-t-il ? École USB spécifiquement? Le syndicat dénonce un système scolaire sur un « binaire obligatoire »ce qui ne semble laisser aucune place au changement. Selon l'USB, les réformes en cours sont autoritaires et ne visent pas à améliorer le niveau de apprentissage ou pour garantir des droits et des salaires adéquats pour les enseignants et le personnel de l’ATA.

USB pointe notamment du doigt les nombreuses interventions en cours : des nouvelles Lignes directrices pour l'éducation civiquequi semblent avoir davantage un objectif de contrôle qu'un objectif de croissance culturelle, à l'utilisation des fonds PNRRdans lequel il préfère investir technologie plutôt que de résoudre les problèmes structurels des écoles qui « ils s'effondrent littéralement ».

Le syndicat vous invite donc à vous joindre à la mobilisation, dans le but de construire un école différente: une école capable de parler des grands enjeux de notre temps et de former des générations conscientes et critiques.

L'école USB conclut : « Le grève le 13 décembre pour nous, c'est le lancement de cette campagne, dont nous sortirons plus forts, plus répandus et plus conscients ».

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