La Gestion régionale de la santé ouvrira son programme de fidélité MIR à tous ceux qui terminent leur résidence dans les centres de santé et les institutions du système national de santé. Dans le cadre de sa politique de lutte contre la pénurie de professionnels, l’objectif est d’attirer de nouveaux médecins face au tourbillon des départs à la retraite dans certaines spécialités, comme c’est le cas pour la médecine familiale et communautaire, mais il s’agit également d’ouvrir une opportunité aux étudiants de Castilla y León qui ont été formés dans des universités étrangères et de leur permettre de retourner dans leur pays.

Pas en vain, plus que 60% des habitants de Castilla y León viennent d’autres régions, sans racines, l’une des raisons qui les « expulse » à la fin de l’entraînement. C’est l’atout avec lequel joue Sacyl, que les résidents locaux peuvent retourner dans leur Communauté et y rester pour y travailler, selon ce qui apparaît dans le projet de loi sur les mesures fiscales, financières et administratives qui accompagne les budgets et l’OMS a eu accès à Ical.

L’appel, de nature annuelle, etA l’heure actuelle, il ne s’adresse qu’à ceux qui sont formés dans les centres de santé et les institutions de la Direction Santé régionale de Castilla y León. à la fin, Sur les 314 places proposées, même pas 25% ont été pourvues, et tout cela malgré le fait que, pour le rendre plus attractif, Sacyl en a amélioré les conditions : un contrat temporaire pouvant aller jusqu’à trois ans, dans lequel un tiers de la journée de travail est consacré à la formation post-universitaire et à la recherche, y compris la préparation de thèses de doctorat, ainsi que la possibilité de suivre gratuitement une maîtrise ou un diplôme de l’une des universités castillanes et léonaises; l’obtention du diplôme en santé publique qui est développé chaque année par l’Institut d’études des sciences de la santé de Castilla y León ; participation à des projets de recherche développés dans la gestion de chaque résident ou d’un autre ; et des séjours de formation liés à leur spécialité.

Concrètement, sur les 314 contrats proposés, seuls 74 postes ont été pourvus. Dans le cas des spécialités hospitalières, 57 sur 176 ; en médecine familiale, 16 postes pour les médecins primaires, en dessous des 128 ouverts, et un pour la pédiatrie en primaire, sur les dix proposés.

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